« “Hé ! l’ami !”
Je vis un garçon de mon âge qui me regardait sévèrement.
“Il ne faut pas toucher les pièges des autres, dit-il. Un piège, c’est sacré !” »
Le petit Marcel découvre l'amitié avec le merveilleux Lili des Bellons, enfant des collines, qui les connaît mieux que personne, et entraîne Marcel à sa suite. Ses vacances et sa vie entière en seront illuminées. D’autant que ses séjours à la Treille deviennent plus fréquents.
Le Château de ma mère, paru en 1958, un après La Gloire de mon père, se clôt sur un épilogue mélancolique où Pagnol fait vibrer les cordes d’une gravité à laquelle il a rarement habitué ses lecteurs.
Avec le soutien du CNL (Centre National du Livre).
Musique composée par Michel Korb.
Je vis un garçon de mon âge qui me regardait sévèrement.
“Il ne faut pas toucher les pièges des autres, dit-il. Un piège, c’est sacré !” »
Le petit Marcel découvre l'amitié avec le merveilleux Lili des Bellons, enfant des collines, qui les connaît mieux que personne, et entraîne Marcel à sa suite. Ses vacances et sa vie entière en seront illuminées. D’autant que ses séjours à la Treille deviennent plus fréquents.
Le Château de ma mère, paru en 1958, un après La Gloire de mon père, se clôt sur un épilogue mélancolique où Pagnol fait vibrer les cordes d’une gravité à laquelle il a rarement habitué ses lecteurs.
Avec le soutien du CNL (Centre National du Livre).
Musique composée par Michel Korb.