«La dernière nasse était particulièrement lourde et il cala son pied sur le plat-bord pour la dégager. Il jeta un coup d’œil par-dessus bord mais ce qu’il vit n’était pas le casier. C’était une main blanche qui fendit la surface de l’eau et sembla montrer le ciel l’espace d’un instant. »
Très vite, on constate que la petite Sara a été tuée avant d’être jetée à l’eau. Vengeance ? Violence obtuse d’un adolescent autiste ? Pédophilie ? Ou dramatique résurgence d’un passé enfoui ?
La voix de Christine Pâris excelle à tisser les fils d’une intrigue qui multiplie ramifications et rebondissements.