Parmi les plus belles lettres de la littérature mondiale, écrites par celle que Virginie Woolf nommait « le seul auteur que j’envie ».
Au fil des années, de 1913 à 1921, et de ses correspondants, Katherine Mansfield nous fait suivre son douloureux combat contre la tuberculose, en même temps que sa lutte contre la page blanche.
Sa vie et son œuvre étaient étroitement liées. Elle écrivait avec sa vie, son sang, ses souffrances – et aussi avec cette gaieté qui s’emparait d’elle devant un ciel clair, un arbre en fleur, un enfant qui rit. Et puis cette correspondance, c’est aussi l’histoire de son amour pour John Middleton Murry. Tous deux avaient fait de l’amour leur devise et leur religion.
S’adressant à son époux ou au frère de ce dernier, Katherine Mansfield se livre avec une grande sincérité et révèle ce qu’est être une artiste jour après jour. Évidemment, ce texte ne pouvait que plaire à Jane Birkin qui en offre une lecture lumineuse.
Cet enregistrement d’exception, réalisé en 1988, a été remastérisé par Audiolib pour faire revivre ce chef d’oeuvre du patrimoine sonore.
Au fil des années, de 1913 à 1921, et de ses correspondants, Katherine Mansfield nous fait suivre son douloureux combat contre la tuberculose, en même temps que sa lutte contre la page blanche.
Sa vie et son œuvre étaient étroitement liées. Elle écrivait avec sa vie, son sang, ses souffrances – et aussi avec cette gaieté qui s’emparait d’elle devant un ciel clair, un arbre en fleur, un enfant qui rit. Et puis cette correspondance, c’est aussi l’histoire de son amour pour John Middleton Murry. Tous deux avaient fait de l’amour leur devise et leur religion.
S’adressant à son époux ou au frère de ce dernier, Katherine Mansfield se livre avec une grande sincérité et révèle ce qu’est être une artiste jour après jour. Évidemment, ce texte ne pouvait que plaire à Jane Birkin qui en offre une lecture lumineuse.
Cet enregistrement d’exception, réalisé en 1988, a été remastérisé par Audiolib pour faire revivre ce chef d’oeuvre du patrimoine sonore.