Revue de presse

Du côté de l'audio, la lectrice Noémie Bianco est très agréable avec une voix fluide sans accroc et vivante lors des dialogues. Elle nous porte tut au long du livre et de ses plus de 11h. Justine E

J'ai été porté par la voix sublime de Marie Bouvet et cela a été un plus pour moi, j'avais déjà tenté une lecture il y a quelque temps et je n'avais pas réussi à accrocher et là whaou... C'était vraiment ce qu'il me fallait. Josiane B.

 C'est très bien lu, le rythme est parfait, les tons, on est dedans. Avec eux. Cette lecture est immersive [...] C'était une très bonne expérience et j'espère vraiment pouvoir écouter la suite en audio également ! Perle

Un premier roman d'anticipation dystopique à visée sociale et écologique très réussi que je recommande vivement à tous les amoureux de la Nature ! [...] Sa voix douce et posée [de la narratrice] donne une atmosphère apaisante, comme une balade en forêt, à cette fresque familiale foisonnante et captivante sur plusieurs générations. Mireille P.

Voici encore un bon roman d'Olivia Ruiz. [...]  On sent son envie de vivre et sa détermination [du personnage principal]. C'est une personne haute en couleurs et je l'ai beaucoup aimée. Ses aventures sont intéressantes et prenantes [...]. Pour la voix d'Olivia Ruiz, elle est toujours aussi captivante. Je pourrais l'écouter pendant des heures tant on ressent les émotions qu'elle veut transmettre. Joe J.

Quelle claque ! Dennis Lehane frappe fort, très fort ! [...] Un roman noir historique intelligent, glaçant et poignant mêlant intrigue policière, drame familial et ségrégation raciale ! J'ai aussi beaucoup apprécié l'humour omniprésent dans ce roman qui joue le rôle de soupape de décompression dans cet univers très sombre où la violence exacerbée crée une tension insoutenable. Son héroïne intransigeante inoubliable est digne d'une tragédie grecque. Mireille P.

Je n’ai pas su détacher les écouteurs de mes oreilles. Surtout que Noémie Bianco est encore une fois parfaite dans son rôle de lectrice, elle sait donner le ton et son débit n’est ni trop rapide ni trop lent. On sent dès le début, la série, l’auteur prend le temps de poser ses personnages. Sandrine U

À peine quelques pages d'écoutées que j'étais à fond dans l'intrigue. On suit, en plusieurs temporalités différentes, l'enquête sur la disparition de la petite Kiera lors d'un défilé à New York en 1998. Une étudiante en journalisme se saisit de l'affaire et enquête en parallèle de la police pour comprendre ce qu'il s'est passé, et Kiera devient une part entière de sa vie. Victoria A.

Le personnage d'Olivia est beau et fort, mais celui de son père est encore plus touchant. Tout comme celui de sa mère. C'est très bien écrit, avec beaucoup de sensibilité et de pudeur. Audrey T.

La trame du temps offre au lecteur une partition musicale grandiose, qui fait résonner la nature, dans ce qu’elle a de plus sublime, mais aussi de plus terrible. Marc S.

Cette dystopie YA, même si elle peut rappeler d’autres dystopies connues, reste intéressante. Les élèves, repartis en maisons doivent s’affronter. Des stratégies, des alliances, afin de vaincre les différentes maisons et être proclamer vainqueur. J’ai bien aimé l’orientation mythologique de ce tome en plus de l’aspect planet opéra. Ness M.

Énoncée très clairement, et non sans suspens, cette partie plus documentaire aide à prendre le recul nécessaire face au désespoir et au tragique de la situation. Ceci dit, Anthony Passeron parvient à parler d'un sujet extrêmement difficile avec pudeur, sans aucun pathos ni voyeurisme. Nous avons là un premier roman brillant qui nous émeut et nous bouleverse tout en nous faisant apprendre des choses et revivre une bien triste époque. Un hommage vibrant aux malades et à leurs proches. Aurélie J.